En quoi consiste votre métier ?
Comme le disait ma collègue, c’est assez vaste, je suis dans le secteur du médicament, je vais gérer le stock et commander les traitements entre autres. Dans le circuit du médicament : le médecin fait la prescription, l’infirmière administre le traitement et entre les deux moi je m’occupe de valider l’ordonnance du médecin. Après j’ai une équipe de préparateurs qui va préparer les piluliers.
Pourquoi avez-vous choisi cette formation ?
J’ai toujours aimé les métiers de la santé. Et au lycée j’aimais tout ce qui était chimie. Donc je suis rentrée en FAC de pharma et j’ai pu découvrir les facettes du métier.
Comment se déroule une journée dans le cadre de votre métier ? Est-ce fixe ?
Mon métier est essentiellement de valider les ordonnances et j’ai aussi une équipe d’une dizaine de préparateurs sous ma responsabilité, il y a aussi un aspect financier (relation avec la direction des finances). Il y a aussi un rôle de conseil auprès des services et des médecins.
On a une dizaine de tâches quotidiennes à faire mais c’est le téléphone qui va faire évoluer notre journée. C’est des journées différentes et ce ne sont jamais les mêmes patients qui rentrent donc il faut s’adapter aux pathologies.
Au sein du service hospitalier, êtes-vous différent des autres ?
Je suis du personnel de santé. Donc oui je suis du service professionnel de santé.
Ressentez-vous des craintes depuis l’apparition de la COVID-19 ?
Pour l’entourage, je ne crains pas pour moi car je ne suis pas dans les critères de risques. Mais quand je vais chez mes grands-parents, oui, il y a une peur de la transmission.
Depuis l’arrivée de la COVID-19, comment cette dernière a-t-elle affecté votre volume de travail ?
Pendant la première vague on a eu un gros volume de travail, c’est un hôpital pédiatrique on a dû créer un service de réanimation adulte, on a dû tout faire de A à Z. Créer les protocoles Covid. Organiser les livraisons des médicaments etc.. Donc oui il a une grosse activité sur Mars-Avril.